Les films DoKu/ All the movies

Les films DoKu 1
Doku of

Le making of du premier atelier réalisé par Fabrice Coppin

Prison rouge

« La prison rouge«  est l’endroit dans lequel les opposants au régime de Saddam Hussein étaient enfermés et torturés. Un homme revient sur les lieux pour nous livrer son témoignage intime : à cause de la torture il est devenu stérile.

réalisation  et image: Ismaeel Omar Ali

son:   Ranj Abdulla

montage:   Kurdo Ahmad

Alterdoc/IKF/KURDSAT TV

The red prison

a film directed and photographed by Ismaeel Omar Ali

sound: :   Ranj Abdulla

editing:  Kurdo Ahmad

Alterdoc/IKF/KURDSAT TV

The Sulaimaniyah headquarter of the  Bat’th parti was a terrible centre of torture during all the rule of Saddam Hussein. Pesheraw Faik survived the detention and the inhuman treatments, but became sterile and never he will able to be a father.   »

« DaBa, la ville des Bidons« 

réalisation:   Marywan Rauf

image et son:     Alan Jalal

montage:   Marywan Rauf

Alterdoc/IKF/EDUCATIONAL TV

La vie quotidienne des laissés pour compte à Sulaimaniya. Dans un pays qui est un des principaux producteurs de pétrole, certains survivent du recyclage des bidons utilisés pour vendre l’essence à la sauvette.

« DaBa, the city of cans »


a film by :   Marywan Rauf

photography: Alan Jalal

editing: Marywan Rauf

Alterdoc/IKF/EDUCATIONAL TV

 

 

The story of  Abdullah father of 2 young children and Ali Faris Mustafa, an old man, former resistance fighter.

In a country that is one of the major oil producers, they survive recycling cans used to sell gasoline at the haste.

 

Rojgar

 

 réalisation: Salar Fatah


image et son: Amanj Muhamed

 

montage: Star Rauf

 

Alterdoc/IKF/KHAK TV

 

« Rojgar« , est l’histoire d’une fillette déchirée entre la famille de sa mère – une femme qui n’a pas de travail – et son père, qui n’arrive pas à trouver du travail car il est totalement inadapté à la société actuelle.

 

 Rojgar

22′

A film by Salar Fatah

Photography: Amanj Muhamed


editing: Star Rauf


Alterdoc/IKF/KHAK TV

 

Every time Salar Fatah is passing by the market of Sulaimaniyah, he sees a little girl spending hours at the same place with his father. Salar discovers that they are homeless, consequence of a family dispute. The man has been rejected because inadapted to the society.

Salar with his camera is the go between the members of this family, with the social service.

 

 

« Hapsa » (pour raison de sécurité, pas de diffusion internet)

réalisation:   Shoxan Mahmud et Ahmed Mahmud

image et son:     Awrin Faraydun


montage:   Ahmed Mahmud

Alterdoc/IKF/
UNION DES FEMMES DU KURDISTAN

Une femme mutilée par des membres de sa famille pour un crime d’amour platonique, décide de rompre la loi du silence qui entoure les crimes d’honneur.

« Chéné »

réalisation, image, montage : Saman Jalal

Alterdoc/IKF

« Le village Chéné« relate la vie d’un village à la frontière iranienne – qui vit du trafic avec l’Iran – à la veille d’un mariage.


Les films DoKu 2

Découvrez aujourd’hui deux films réalisés par des participants  l’atelier Doku 2, et le nouveau film de Mariwan Rauf et Alan Jalal, participants à l’atelier Doku 1.

« J’existe », un film de l’équipe Solidarity (association kurde irakienne). Réalisateur : Fouad Yassin. Caméraman : Mehran Abasian.

« I exist », a film by Solidarity team (Kurdish Iraqi NGO). Film director : Fouad Yassin. Cameraman : Mehran Abasian.

J’existe raconte l’échange entre deux jeunes hommes de Suleymani, Ahmed et Zmnako, deux garçons joyeux et ambitieux, qui travaillent ensemble dans l’achat et la vente de matériel informatique. Ils partagent leur point de vue sur la dureté de la société irakienne, les difficultés qu’ils rencontrent pour travailler dans de bonnes conditions, rêvent souvent de quitter le pays… et s’évadent tous les jours grâce à Internet.

“I exist” is a discussion between two young men from Suleymani, Ahmed and Zmnako. They are two ambitious, lively boys, who work together in purchasing and selling computers. They share their point of view on the harshness of Iraqi society, on the difficulties they meet in trying to make proper business, they often dream of leaving the country… and escape everyday through the Internet.

« La double vie de Roukhsar », un film de l’équipe Komala TV (télévision kurde iranienne). Réalisateur : Hushyar Darweshyan. Caméraman : Nizam Mulazada. Ingénieur du son : Ghane Mohamadi. Monteuse : Sayran Ibrahimi.

« The double life of Roukhsar », a film by Komala TV Team (Kurdish Iraqi television). Film director : Hushyar Darweshyan. Cameraman : Nizam Mulazada. Sound engineer : Ghane Mohamadi. Editor : Sayran Ibrahimi.

La double vie de Roukhsar raconte l’étonnante histoire de Loukman, une adolescente de dix-sept ans, exilée du Kurdistan iranien, qui vit dans un camp de réfugiés près de Suleymani. Avant de mourir, son père lui a donné la lourde responsabilité de subvenir aux besoins de sa parentèle. Par amour pour son père défunt, Loukman est devenue à la fois la mère, le père, la sœur et le frère dans cette famille de neuf enfants dont elle est l’aînée, en se travestissant en garçon afin de travailler librement.

“The double life of Roukhsar” or the astonishing story of Loukman, a 17 years old teenager, exiled from Iranian Kurdistan, who lives in a refugee camp near Suleymani. Before he died, her father asked her to provide for her whole family’s needs. For the love her late father, Loukman has become mother, father, sister and brother at the same time for her nine siblings, by disguising as a boy.

« Snûr », un film de Mariwan Rauf. 

Snûr, a film by Mariwan Rauf.

Snûr (Frontière), est un film sur un groupe d’étudiants des Beaux-Arts de Suleymani, au Kurdistan d’Irak. Pendant deux jours, ils sont travaillé à des installations sur le thème de la frontière, dans une forêt délimitant l’Irak et l’Irak.

« Snûr » (The border), is a film about a group of students of the Suleymani Fine Arts School, Iraqi Kurdistan. During two days, they have been working on plastic installations with the theme of the border, in a forest separating Iraq from Iran.

Trois autres de nos films documentaires réalisés pendant l’atelier au Kurdistan d’Irak, à découvrir aujourd’hui!

« Khaled le réfugié », un film de l’équipe Fayhaa (télévision arabe d’Irak). Réalisateur : Namer Ablhed Huna. Caméraman : Dhafir Ali Mashy. Ingénieur du son et monteur : Ali Muhamed Ramzan.

« Khaled the refugee », a film by Fayhaa Team (Arabic Iraqi television). Film director : Namer Ablhed Huna. Cameraman : Dhafir Ali Mashy. Sound engineer and editor : Ali Muhamed Ramzan.

Khaled le réfugié nous fait partager la vie quotidienne d’un adolescent de dix-sept ans, qui a fui Bagdad et vit avec son petit frère de 6 ans dans un camp de réfugiés. Ils sont les seuls survivants de leur famille. Le héros a épousé sa jeune cousine qui porte son enfant. Il travaille dur pour faire vivre sa famille et sa situation est terrible, mais il est plein de vie et se bat jour après jour pour s’en sortir. Un véritable messager de l’espoir.

“Khaled the refugee” makes us share the daily life of Khaled, a seventeen year-old teenager who fled from Baghdad and lives with his six year-old little brother in a refugee camp. They are their family’s only survivors. Khaled has married his cousin who is pregnant with his child. He works very hard to provide his family’s needs and his personal situation is terrible, but he is very lively and fights every day to create a better life for himself.

« Un coin sombre », un film de l’équipe Kurdsat (télévsion kurde irakienne). Réalisateur : Samad Qadr. Ingénieur du son : Hoshmand Rassul. Monteur : Dyar Jola.

« The dark angle », a film by Kurdsat Team (Kurdish Iraqi television). Film director : Samad Qadr. Sound engineer : Hoshmand Rassul. Editor : Dyar Jola.

Un coin sombre, c’est l’histoire de Nazar, un jeune homme qui travaille dans une fabrique de poterie à Douz, une petite ville du Kurdistan d’Irak où la situation politique instable entraîne une très forte insécurité liée au terrorisme. Refusant d’exercer comme ses amis le dangereux métier de policier, privé de la possibilité de faire des études, il est devenu potier, comme son père et son grand-père. Nazar n’a pas eu le choix de son avenir et vit reclus dans sa fabrique, où il travaille nuit et jour.

“The dark angle“ is the story of Nazar, a young man who works in a pottery fabric in Douz, a small town in Iraqi Kurdistan, where the unstable political situation entails a very high level of insecurity due to terrorism. Refusing to earn his living as a policeman, which he founds too dangerous for himself, unable to study, Nazar has become a potter, like his father and grand-father were. He did not have the choice of his future, and lives secluded in the fabric where he works night and day.

« Perdu parmi les pierres », un film de l’équipe Khak (télévision kurde irakienne). Réalisateur : Soran Usman. Caméraman : Nzar Majid Hama Salh. Ingénieur du son : Harem Tofiq Ali. Monteur : Arywan Jamal Sabir.

« Lost among the stones », a film by Khak Team (Kurdish Iraqi television). Film director : Soran Usman. Cameraman : Nzar Majid Hama Salh. Sound engineer : Harem Tofiq Ali. Editor : Arywan Jamal Sabir.

L’équipe Khak TV nous dit dans Perdu parmi les pierres, comment le destin a brisé les rêves d’avenir de Sartchel, un jeune homme qui travaille dans une carrière de pierres, près de Suleymani. Dans sa famille, on exerce ce métier de père en fils, et même si ce travail est très difficile, il gagne très peu d’argent. Sartchel a fondé une famille, il a un enfant. Fataliste, il assimile son métier à son destin et n’a jamais eu la chance de faire des études ni de connaître autre chose du monde que la carrière dans laquelle il vit.

Khak TV team tells us in “Lost among the stones” how destiny has broken a Sartchel’s dreams about the future. This young man works in a stone quarry near Suleymanyah. In his family, one practices this job from father to son. Even if the work is extremely tedious and dangerous, he earns little money. Sartchel is a fatalist, assimilating his fate to his job. He never had the chance to study, or to know anything but his work in the stone quarry in which he lives.

Suite et fin des films documentaires réalisés par nos stagiaires. Le premier a été réalisé dans le cadre de l’atelier, le second a été tourné par un de nos stagiaires en dehors de l’atelier. Bonne découverte! Le sourire de Pouchen, un film de l’équipe Kurdistan TV (télévision kurde irakienne). Réalisateur : Seyid Mohammad Seyid Abdullah. Caméraman : Najmadin Abdulla . Monteur : Rizgar Husen.

« Puschen’s smile », a film by Kurdistan TV Team (Kurdish Iraqi television). Film director : Seyid Mohammad Seyid Abdullah. Cameraman : Najmadin Abdulla . Editor : Rizgar Husen.

Le sourire de Pouchen racontecomment Khanda, une jeune institutrice originaire de Suleymani, bouleverse la vie de Puschen, un petit village dans les montagnes à l’est du Kurdistan irakien. Avec son mari Pshwan, également instituteur, cette jeune femme moderne alphabétise, change les mentalités, libère les esprits des traditions trop lourdes. Aujourd’hui, Khanda est acceptée par les habitants du village comme une des leurs, en dépit de son anticonformisme.

“Puschen’s smile” tells how Khanda, a young school teacher originating from Suleymani, changes the life of Puschen, a small village in the eastern Iraqi Kurdish mountains. With her husband Pshwan, who is also a teacher, this modern young women teaches to read and write, changes mentalities, frees the minds from heavy traditions. In spite of her non-conformism, today, Khanda is totally accepted by Puschen’s inhabitants, as if she were one of them.

Trafic à la frontière, un film de Hoshmand Rassul.

Dealing at the border, a film by Hoshmand Rassul.

Trafic à la frontière raconte comment de jeunes hommes mettent en danger leur vie en faisant passer du gaz de l’Iran à l’Irak dans des conditions extrêmement dangereuses.

« Dealing at the border » tells us how some young men make their lives at risk, by dealing gas bottles between Iran and Iraq, in extreme conditions.

Les films DoKu 3
Le making of
réalisé par Darjeeling Bouton

« Le ballon et la bombe » / « The bullet » English version below

un film de Karwan Shekhzada

équipe U-TV (télévision Kurde Irakienne)

image/camera: Ahmed Taha Muhammed . son/sound: Dydan majid Khedir . montage/editing: Dana Mustafa


Halabja. Salam avait 4 ans en 1988, quand a eu lieu le massacre d’Halabja: des bombes chimiques ont tué une grande partie de la population de la ville et les rescapées ont été marqués à vie, qui dans sa chair, qui dans son esprit. Avec ses amis, nés autour de 1991, il tente aujourd’hui de changer sa vie, mais la situation politique et économique ne le lui permet pas. L’ histoire de ce groupe de jeunes tourne autour d’un stade de foot où, dès qu’ils le peuvent, ils se retrouvent pour jouer. Mais… les plus riches ont la priorité et Salam et ses copains doivent patienter jusqu’à 23h. Le personnage principal travaille comme ouvrier pour payer ses études dans une école de commerce. Mais qu’est-ce qui l’attend une fois diplômé ? Peut-être la même injustice qu’il endure sur le terrain de football?

La bombe qui a explosé autrefois est dans la mémoire de tous, mais une « bombe » sociale est peut-être tapie dans le mécontentement d’un peuple qui ne voit pas changer son destin comme il le voudrait (et il le mériterait).


Halabja , the martyred city seen from the football stadium. The poor players have to wait the night to to be able to practice. A story of social injustice.

« L’eau des Maadans » / « Revival in the Marches »

un film de Haider Kamil Hassan

équipe Al Khadire TV (télévision Arabe Irakienne, Najaf)

image/camera: Swady Kasm Sun . son/sound: Nasir Muhammed Shahid . montage/editing: Mahdi Jamil Salh

Irak, près de Nassiryia. Au sud du pays, les marais ont été asséchés par le régime de Saddam Hussein dans sa lutte contre ses opposants. C’est ainsi qu’une culture millénaire liée  à la faune et à la flore d’une région entière, a commencé à disparaître.
A travers un chef de village qui réunit les habitants dans le Moudhif – l’habitation collective traditionnelle en roseaux – le film se concentre sur la nostalgie pour le Paradis perdu et le programme de réhabilitation lancé après la chute de Saddam et soutenu par la Communauté Internationale. Le chant des poètes irakiens se mêle aux voix des habitants des marais.

The Iraqi Marches, the aquatic world between Tigris and Euphrates was surrounding the Eden garden of the bible. They were also the shelter of opposition guerilla in the 1990s. Saddam Hussein decided to dry a region larger than Switzerland.
But after his fall, water came back and the ancient civilization of the marches people try to rebirth.

Il ou Elle/ He or She

Pour des raisons de confidentialité, il nous est impossible de diffuser sur internet le film réalisé par l’équipe des femmes. Le personnage ne souhaite pas révéler sa véritable identité à la population de Sulaymaniya. Accès sur demande!

We are not able to show the film of the women’s team on the web. The character doesn’t want to be recognized by Sulaymaniya people. Access on demand!

il-elle1

un film de Heshu Ahmad

équipe  Heshu Ahmad (indépendante Kurde Irakienne)

image/camera: Tavga Tufik . son/sound: Shilan Natek/Shvan Abdukarim . montage/editing: Shilan Natek


Le portrait tendre d’une femme qui a choisi une apparence d’homme, mais n’a pas réussi à se détacher entièrement de la fillette qu’elle a été. Aujourd’hui il/elle  se pose une question difficile : pourrais-je redevenir une femme ? Un trio de femmes pour brosser ce portrait tout en douceur.

English version (a version subtitled in English is avaible on demand)

The loving portrait of a woman who chose man’s appearance, but did not succeed in breaking loose entirely from the little girl that she was. Today it / it settles a difficult question: could I become again a woman? A feminine trio to brush this portrait very gently.

« Le poison de Beiji » / « Dark clouds over Beiji »

un film de Yasser Sabhi Rashyd

équipe Salah al din TV (télévision Arabe Irakienne, Tikrit)

image/camera: Ahmed Ibrahim . son/sound: Saif Al-Muhannad . montage/editing: Ali Saeed

Beiji, Irak. Dans la région de Tikrit, coule le Tigre – l’un des deux grands fleuves qui « nourrissent » l’Irak- pollué par le pétrole et par les scories de la plus grande usine thermoélectrique d’Irak: un monstre qui crache ses poisons au milieu du désert. Palmeraies séchées, enfants et adultes malades de cancer.Le film s’attache au combat d’un ingénieur – St. Georges contre le dragon ? – qui tente de sensibiliser la population et les autorités aux problèmes de l’environnement, dont il était impossible de parler ouvertement du temps de Saddam Hussein.

Beiji, one of the most polluted city of Iraq, near Tikrit, the city of Saddam Hussein. The Tigris river flows between the huge oil refinery, the most important power plant, and oil fields. On the banks, dead fishes, pollution burned palm trees, children and adults suffering from cancer. The film focuses on the struggle of an engineer. He seeks to educate the population and authorities to environmental concerns.

« Une femme libre » / « Seeking for freedom »

un film de Shvan Mustafa

équipe Khak TV (télévision Kurde Irakienne)

image/camera: Rebin Ahmed Muhamed . son/sound: Shvan Abdukarim . montage/editing: Pshtywan Muhammed Abdulha


Sulaymanyia. Sportive de haut niveau (triathlon), directrice de la prison de femmes à 24 ans, Shilan est aujourd’hui à la veille d’un départ pour l’étranger. Ses rapports avec les prisonnières et les gardiennes de la prison qu’elle dirige, sa carrière d’athlète…mais qu’y a-t-il derrière cette carrière exceptionnelle dans un Pays où la plupart des femmes sont voilées ? Au fil du récit, nous allons découvrir ses anciennes blessures d’enfant battue recueillie par l’Union des Femmes.

Sulaymanyia. Triathlon champion, director of the women’s prison of Sulaimaniya, Shilan, 24, is an exception in a country where most of the women are veiled.
Behind the strength of the public image, we discover a fragile women dealing with the souvenir of a terrible childhood.

« La ruelle du thé » / « A glass of tea »


un film de Azad Ali

équipe Kurd Kanal (télévision kurde Iranienne)

image/camera: Shorsh Ali . son/sound: Muhamad Anwar . montage/editing: Umed Hamza

Koya. La déception des jeunes après l’insurrection de 1991. À l’époque, le Kurdistan Irakien réunit son nouveau parlement. Mais le temps passe, les lendemains qui chantent sont relégués au passé, le peuple ne voit toujours rien venir et la dureté de la vie pourrait finir par tuer l’espoir.

Koya. The disappointment of the young persons after the insurrection of 1991. In epoch, Kurdistan Iraqi unites his new Parliament. The following days which sing are relegated to the past, the people still see nothing coming and the hardness of life could end up killing hope.

« Danse avec la nuit »/ « Sama »

un film de Zemnako Karim

(Kurdsat, équipe télévision Kurde Irakienne)

image/camera: Kamal Muhamed . son/sound: Bestunali Abdulaha . montage/editing: Aryan Azad Sahl

Soulaymanyia. Vous rencontrerez un personnage qui est le petit-frère de Novecento, dans  La légende du pianiste sur l’océan, (un film adapté du très beau livre d’Alessandro Baricco). Les bastingages ont été remplacés par les murs d’une école de danse, et le piano par la musique et la danse. Dilshad quittera-t-il un jour  l’école qui l’a vu grandir, lui, et ses parents vieillir ? Il est en quelque sorte l’âme de son école, du moins pour Zemnako!


Soulaymanyia. You will meet a character who is the young brother of Novecento, in La légende du pianiste sur l’océan, (a film made from the novel written byAlessandro Baricco).  Music and dance in a modern academy of art. Would Dilshad  leave one day the school where he has grown, where his parents are getting older? He is like the soul of this school, for Zemnako.

« Le temps n’attend pas » / « Time doesn’t wait« 

un film de Awat Ali

(équipe indépendante Kurde Irakienne)

image/camera: Hemn Zahir . son/sound: Koshish Bakr . montage/editing: Anwar Ahmed

Soulaymanyia. Monter un groupe de Rap était impossible à envisager avant 2003. Aujourd’hui, sur les murs de la ville, les tags des rappeurs remplacent peu à peu les anciens graffitis contre Saddam et ça ne plait pas à tout le monde!

Le film interroge le rapport des membres du groupe « Les Empereurs » à leur environnement, leurs parents, la police, les autres rappeurs et les chanteurs traditionnels. L’histoire du Pays n’est jamais loin: le passé et le présent s’entrecroisent dans les paroles des chansons et dans les images d’archives choisies par le réalisateur.

Soulaymanyia. A few years ago, creating a rap band, was unthinkable in Iraq. Nowadays, on the city walls, tags of the rappers replace the old political graffiti’s against Saddam Hussein. But a lot of people doesn’t agree.

The film shows contrast between the rap group « The Emperors » and the society, families, police, traditionnal singers… The director wants to talk about past, present and future of his country throw archives and lyrics.


Les films DoKu 4:

Les yeux pour pleurer

Ce sont ceux de cette jeune fille qui raconte son excision et sa honte. Le beau film de Soran Qurbani mérite d’être regardé: âme sensibles, faites un effort et ne vous abstenez pas! Des femmes courageuses prennent des risques, comme le réalisateurs, pour conter leur expérience.

Le prince qui aimait la fête…

et qui a perdu sa sépulture. Un film historique sur la création du Maoulud, fête musulmane, de Ranjdar Rizgar Abdulrhaman. Au passage, quelques belles images d’archives du passé de la ville d’Erbil.

Si vous vous connectez pour la première fois aujourd’hui, pensez à voir les 5 films qui précèdent!

Au bout du chemin

Avec Terminus, Haval Salah Ali signe le portrait plein de sensibilité d’un homme âgé qui découvre la vie dans une maison de retraite.

C’est une nouveauté au Kurdistan: avant il y avait toujours une place,dans la famille, pour le père, la mère, le frère ou la soeur qui ne s’étaient pas mariés. La nouvelle économie, centrée sur le développement de la vie citadine, a creusé les injustices et bouleversé cette tradition.

« Contrastes de vie »

Les films réalisés par nos stagiaires sont très différentes entre eux. Kerimok  veut exprimer la joie et la tristesse le jour de la fête du Ramadan. Voici donc « Contrastes de vie »

Another life

Jamal Penjweny a tourné sur la frontière entre l’Irak et l’Iran, la nuit, en prenant bien de risques. Il nous a rapporté ce portrait poignant d’un groupe de contrebandiers.

Vous pouvez bien sûr nous écrire à propos de ce film -et du blog en général- en cliquant sur « faites un commentaire ». Ne soyez donc pas paresseux!

Les guérisseurs

En ligne aujourd’hui, le film de STAR, « Les guérisseurs ». Avec son personnage qui est à jamais handicapé, Star s’interroge sur l’état des soins au Kurdistan d’Irak aujourd’hui , entre guérisseurs et médecins.

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